Le C à Lire : INFOS - el aimlebô

IL AIME TROP qu'on parle de lui ce monsieur c'est ce qui le décrédibilise totalement il n'y a que lui qui en parle de toutes façon même l'OMS je me méfie de ce qu'ils racontent

ne me dites surtout pas qu'ils sont récupérables . . . le contribuable va payer pour ça et ils ressortiront et ils recommenceront . . . Quand on a le diable dans le corps rien ne peut changer quoique ce soit : et ce n'est pas que le DIABLE : ce sont des bêtes sauvages des dégénérés des décérébrés de la saloperie . . .et ils me font ultra peur ils sont capables de la pire des barbaries

une série de VIOLENCES - moi je voudrais savoir quoi ! - mais on ajoute : SANS CONSÉQUENCES TOUT DU MOINS limitées

mais QUI dit des choses pareilles ? LES MêMES DEMEURÉS ? Des demeurées fonctionnaires engagés dans la police , la Justice ? l'éducation ? Des psys ? des gens diplômés ET formés ?

FAUDRAIT IL alors que ce soit des enfants, des gens de vos familles pour que vous réagissiez à cette hyper violence ?

En Chine, dans moins d’un siècle, un habitant sur dix des villes côtières pourrait vivre sous le niveau de la mer. C’est ce que révèle une étude parue ce jeudi dans la revue Science.

Des scientifiques ont examiné le niveau d’affaissement des sols de 82 grandes villes chinoises de 2015 à 2022. Et leur constat est sans appel : la terre s’enfonce sous les pieds de millions de chinois, les exposant ainsi à un risque d’inondation. En août dernier, plusieurs grandes villes dont Pékin avaient été inondées, perturbant le quotidien de millions d’habitants. Sur les terres urbaines examinées, près de la moitié s’affaisse à une vitesse supérieure à 3 millimètres par an. Cela affecte non seulement la capitale Pékin, mais aussi des capitales régionales telles que Fuzhou, Hefei et Xi’an. Au total, plus de 270 millions de personnes sont touchées par le phénomène.

Un sol trop sec et des buildings trop lourds

Des facteurs naturels et humains sont à l’œuvre selon cette étude. Mais la principale cause est le pompage effréné des nappes phréatiques. C’est d’ailleurs ce que confirment de récentes études. "C’est ce qu’on appelle le phénomène de subsidence. Il est généralement lié à la combinaison de deux facteurs. Le premier est le pompage des eaux souterraines situées sous les villes", explique Jacques Teller, professeur d’urbanisme à l’ULiège. "Dans la mesure où elles n’ont pas le temps de se recharger, les terres ont tendance à se comprimer. Le deuxième facteur, c’est la construction des bâtiments qui induit une pression plus importante."

C’est un phénomène critique pour les villes à proximité de la mer et des fleuves où le risque d’inondation est accru. Selon Jacques Teller, la première solution serait d’arrêter le pompage excessif des nappes phréatiques. "Mais c’est compliqué puisque les besoins en eau sont énormes", constate-t-il. Ces dernières années, plusieurs villes ont réussi à ralentir l’affaissement de leurs sols en appliquant cette solution, comme l’explique la revue scientifique Nature.

Les sols s’affaissent tandis que l’eau monte…

Le phénomène de subsidence est aggravé par le changement climatique. "Les villes s’affaissent et dans le même temps, le niveau des eaux monte", analyse Jacques Teller. "Cela concerne tant les mers que les fleuves". Cette problématique affecte aussi l’Europe et notamment les Pays-Bas dont 26% du territoire se situe en dessous du niveau de la mer. "On parle de millimètres par an, sur dix ou cent ans c’est considérable ! Mais comme on ne le voit pas à l’œil nu, c’est très compliqué de mobiliser les décideurs sur cette question-là". Pourtant d’ici 2100, 630 millions de personnes pourraient être exposées à des inondations.

---------------------------------------

on va compter combien de temps il va mettre pour nous réclamer à nouveau de l'aide PARCE QUE CE N'EST PAS SUFFISANT ????